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Dans un monde déchiré par les guerres, les laryskaniens tentent de sortir leur royaume des ténèbres qui le hante. Rejoignez-les mais dans quel camp serez-vous ?
 
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Lukas D. Kosta

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Invité

MessageSujet: Lukas D. Kosta Lukas D. Kosta EmptyDim 1 Nov - 1:10



Lukas D. Kosta
« Hope for the best but prepare for the worst. »

NOM
Kosta
PRÉNOMS
Lukas Dareios
SURNOM
Pas de spécificité


SEXE
Masculin
RACE
Paladin
AGE
24 ans



ORDRE
Chevalier de la Lumière
RÔLE
Capitaine des Cavaliers



DIVINITÉS
Polythéiste
DATE DE NAISSANCE
21ème jour de la saison de Cynéid en l'an 305



Armes

• Lance (cf. image)


Pouvoirs

• Intrusion psychique
• Télékinésie




Apparence

Lorsqu'il sort de chez lui et traverse les rues d'un pas calme, il est, sans le savoir, un aimant à regards. Sa haute stature d'1m80 a beau être commune, sa chevelure épaisse et brune, soignée, et ses yeux, toujours en alerte, d'un bleu captivant, ses lèvres pleines ainsi que ses muscles légèrement développés qui jouaient sous sa peau pouvaient faire chavirer plus d'un cœur.  

Toujours vêtu de vêtements sobres - il déteste attirer l'attention -, il a pour habitude de camoufler le tatouage qui courre de son oreille à sa clavicule à l'aide d'un col. Fait quand il était enfant, il n'en garde aucun souvenir précis. Quand il le voit, il pense tout simplement à son enfance paisible et joyeuse, et espère que la suite de sa vie en sera ainsi. Il lui apporte confiance et sécurité.

Il ne soucie guère de ce qu'il porte. Un habit n'est qu'un morceau de tissu selon lui, alors ce n'est certainement pas lui qui prendra racine devant sa garde-robe en se demandant ce qui lui ira mieux au teint. Un long manteau de velours, une paire de braies longues resserrées aux chevilles et une tunique courte, rentrée dans le pantalon, lui semblaient bien suffisant pour une tenue civile.

Son armure de paladin, dans les tons bleu et argent, fait toute sa fierté. Comme il désirait une armure unique, il l'avait lui-même composée à l'aide d'un ami des métaux. À force de flâner dans les marchés, il avait fini par dénicher toutes les pièces : spallières menaçantes, plastron orné de motifs glorieux, ou encore tassette agrémentée d'une lourde et courte cape à l'avant et plus longue à l'arrière, destinée à protéger les endroits sensibles.
 
Psychologie

Lukas est un homme tranquille et équilibré. Empathique et compréhensif, c'est quelqu'un vers qui on n'hésite pas à se tourner en cas de besoin. Sa sociabilité et sa réserve font de lui un être discret mais agréable. Il est tel un ange gardien, veillant sur ceux qu'il aime.

Ce jeune adulte dynamique et enthousiaste s'investit corps et âme dans tout ce qu'il entreprend - c'est plus fort que lui. L'échec, il ne connaît pas. Tout effort a sa récompense ; son optimisme ne le déçoit jamais. Sa joie de vivre se propage comme une trainée de poudre ; impossible de rester maussade à ses côtés !

Des connaissances, il en connaît des filons ; ses véritables amis se comptent sur les doigts d'une main et ne datent pas d'hier. La fidélité et l'attention sont de mise, que ce soit en amitié ou en amour. Jamais vous ne le verrez fuir quand il sera confronté à ses faiblesses ; il se confrontera à elles sans hésiter.

Personne sensible, Lukas ressent approximativement les émotions éprouvées par ses proches. Avec plusieurs années d'entraînement mental, il a réussi à contrôler en partie son émotivité. Réservé, il apprécie la solitude tout comme passer du temps avec un alter ego, avec lequel il se montrera rusé et espiègle.

En ce qui concerne les inconnus, il restera sur ses gardes. Aimable mais méfiant, il restera prudent tant qu'il ne connaîtra pas plus la personne, au risque de paraître froid et insensible. Peu importe avec qui il est, Lukas a un comportement modéré en toutes circonstances. Jamais vous ne le verrez en colère, ou alors, c'est qu'il défend une cause qui lui tient à cœur !



Histoire

An 305. L'enfant tant attendu venait enfin de naître, après plusieurs heures d'intenses efforts pour la jeune mère et son corps frêle et fatigué. C'était son premier, elle avait voulu que tout soit parfait et avait pris, dans la mesure du possible, le maximum de précautions pour que l'accouchement se passe bien ; ce qui était fait. Maintenant, elle n’attendait plus qu’une chose, trois petits mots : « Il va bien ». Son cœur battait la chamade, dans quelques instants, ce serait l'heure de vérité.

Son enfant lui fut doucement enlevé des mains et examiné sous l'œil fatigué d'un homme à la bedaine proéminente, spécialisé dans le métier depuis tellement longtemps qu'il ne s'en rappelait plus. Après plusieurs minutes d'examens minutieux, il finissait par déclarer à la jeune mère que l'enfant, bien que chétif, était en parfaite santé. Après avoir rangé son matériel, il repartit d'un pas lourd de la demeure, sans se douter de l'état d'allégresse qu'il avait provoqué.

Daphné riait et dansait au milieu de son salon, son nourrisson dans les bras. Il était vivant, il était en bonne santé, il allait bien ! Elle était tellement soulagée. Le pire était passé ; maintenant qu'elle pouvait le voir et le toucher, elle était sûre de posséder tous les moyens pour bien s'occuper de lui. L’avenir lui semblait soudain plus léger, tout comme le fardeau sur ses épaules. C’est sur cette douce et joyeuse vision que Glawen tomba en rentrant le soir.

Toute la journée, il avait craint le pire en imaginant sa jeune femme accoucher. Elle n’était pas en pleine forme, elle n’avait pas assez de forces pour accomplir un effort pareil, mais le bébé se faisait impatient ces derniers temps. À présent, il était apaisé : sa femme et son bébé étaient vivants. Il se dirigeait vers ceux qui constituaient sa fierté afin de les embrasser et de se présenter à son fils.

- Fils, c’est moi, ton papa. Je suis très fier de toi, tu es magnifique. Il se tourna sur le côté pour regarder sa femme. Tu as accomplis un travail formidable, la félicitait-il.
- Chéri, ne sois pas aussi formel avec lui. Elle rosissait et embrassa son homme. Il est en parfaite santé.
- Tu es sûre ? Il n’est pas un peu maigre ?
- … Le toubib a dit que ce n’était rien, dit-elle en détournant le regard.
- Mon amour, je suis là, pour toi, pour vous deux. Laisse-moi t’aider. On pourra aller n’importe où, on…
- Non. Tu as tes responsabilités, et je suis assez grande pour me prendre moi-même en charge.
- Être soldat n’est qu’un métier, et tu comptes bien plus que ça.
- Je sais. Ça ira mieux dans quelques temps, affirma-t-elle en se détournant.

Glawen la regarda d’un air suspicieux. Ils se connaissaient depuis longtemps et s’aimaient depuis quelques années. Il la connaissait par cœur, pourtant, il y a quelques mois, son comportement avait brusquement changé. Comme il était toujours sur le terrain, il ne pouvait lui-même pas la filer. C’était pour cette raison qu’il avait engagé un homme neutre pour cette mission, qui était revenu bredouille ; il était persuadé que tout venait de là. Et il n’avait pas tort.

Il s’avéra que la jeune femme s’occupait des livraisons. Ces derniers temps, ces dernières s’étaient multipliées dans le quartier de Grégorio. Barbare suintant la testostérone  aux allures brutales, il était craint de tous et se permettait de prélever une partie, en nature ou en monnaie, de ce qui se livrait. « Autorisation d’entrée », « autorisation de sortie », « autorisation de dépôt », tout était noté et consigné par ses sbires.

Autant vous dire que tout était soigneusement écrit et de manière visible. Quand le gros bonnet remarqua que la jeune femme venait régulièrement dans « sa » zone, il s’était permis d’aller voir de plus près de qui il s’agissait. Elle lui paressait louche, d’autant plus qu’elle livrait toujours les mêmes personnes. L’idée qu’elle puisse s’être fait des amis ne lui avait pas traversé l’esprit. Tandis qu’il se mettait en route pour un de ses clients réguliers, elle l’avait frôlé. C’était suffisant pour qu’il la repère.

Il l’avait violemment prise par le bras et l’avait jeté dans le bâtiment le plus proche : une écurie. Tandis que ses sbires en gardaient l’accès, il lui avait fait comprendre à sa manière qu’il n’appréciait pas qu’elle vienne fourrer son nez dans ses affaires. Il était courant que ce genre de personnes venaient chez lui, seulement ces derniers n’étaient jamais les mêmes. Ceux qui revenaient, il leur faisait savoir qu’ils n’étaient pas la bienvenue.

C’était pleine de bleus et d’hématomes qu’elle était revenue chez elle. Elle avait caché ses douleurs du mieux qu’elle le pouvait, mais son mari n’avait pas été dupe. Même s’il passait ses journées à entraîner ses hommes, il voyait bien, quand il rentrait, si quelque chose n’allait pas. Elle lui avait assuré que tout allait bien et avait continué d’effectuer ses livraisons, comme si de rien n’était. Pendant plusieurs mois, à en perdre connaissance. Jusqu’à ce qu’elle tombe enceinte.

An 307. Pour le plus grand bonheur de ses parents, Lukas se développait normalement, même s’il était toujours un peu maigre. Agile et curieux, il ne se lassait pas de les épuiser. C’était avec reconnaissance qu’ils confiaient de temps à autre leur protégé à une nourrice, qui gardait d’autres enfants de son âge. Il démontra une grande sociabilité et bredouillait quelques phrases qui faisaient fondre ses parents.

Dès qu’il demandait quelque chose de sa voix aigrelette, ses parents, ravis, se pressaient de répondre à ses besoins. C’était de cette façon qu’il abusait d’eux et parvenait à grappiller du temps pour jouer avec ses nouveaux amis. Bien qu’ils avaient peur dès que leur jeune fils n’était pas à leurs côtés, le couple commençait à prendre l’habitude de lui laisser du temps libre.

Durant l’un de ces temps-libres, Daphné avait confié à son époux pourquoi elle revenait parfois du travail blessée. Il savait que son employeur n’était pas toujours tendre, mais de là à employer la force physique… Pour l’empêcher de frapper à nouveau, il lui fallait démanteler son réseau. Il avait beau être optimiste, il n’était pas fou ; seul, il ne pouvait rien.

Elle lui avait promis de ne plus livrer dans les quartiers de Grégorio, ni dans ses alentours. Ça ne le rassurait pas, mais elle ne pouvait pas faire plus. Il s’était donc occupé à  sa manière. Grâce à sa loyauté légendaire et à tous ses services rendus, il se constituerait une petite armée avide de faire mordre la poussière à cet ignoble individu. Il était confiant et se jetait à corps perdu dans cette tâche.

An 309. Généralement, c’était au bout de quatre années d’existence que les jeunes bambins prenaient peu à peu conscience du monde qui les entouraient. Ils posaient beaucoup de questions, voulaient tout savoir et tout comprendre. Ça leur semblait essentiel, voire presque vital. C’est au cours de ses quatre ans que Lukas avait compris que certaines personnes étaient « différentes ».

Il avait beaucoup d’amis. Des bons et des moins bons. Mais il avait aussi des « super-amis », ceux avec qui il s’entendait miraculeusement bien. À ce moment-là,  il jouait avec les enfants de sa ville et ceux des villages voisins. Et puis, il s’était aperçu qu’il y en avait « d’autres ». Des enfants qui ne pouvaient pas sortir et qui ne pouvaient pas jouer avec eux.

Lukas s’était promis que quand il serait grand, il aurait plein de pouvoir et qu’il ordonnerait à ces gens de laisser leur enfant jouer dehors. C’était inhumain de rester toujours dans sa maison, lui-même n’aimait pas y rester trop longtemps. S’il en avait discuté avec ses parents, il aurait su que l’enfant de ses pensées n’était pas n’importe qui. Seulement, a-t-on des notions de « prince » à cet âge ?

An 311, lettre de Lukas aux dieux.

« Pour Dieu,
J’ai peur. Ma maman, je crois qu’elle est très malade. Quand elle revient de son travail, elle pleure. Elle a plein de traces rouges, bleues et violettes. Je lui ai demandé ce que c’était, elle m’a dit que c’était du maquillage. Je sais qu’elle me ment. Une fois, je suis tombé et j’avais la même chose sur le genou. Pour en avoir partout, elle doit beaucoup tomber et si elle tombe beaucoup, c’est qu’elle n’a pas de forces. Papa et maman m’ont dit que quand on ne mangeait pas, on n’avait pas de forces. Il n’y a que quand on est malade qu’on ne mange pas. Dieu, je voudrais que tu soignes ma maman pour qu’elle ne soit plus malade et pour qu’elle mange. Je ne veux plus qu’elle tombe. Je ne veux plus qu’elle ait du rouge, du bleu et du violet. S’il te plaît, aide-moi. Je sais que toi seul peut l’aider. »


Glawen avait trouvé la lettre de son fils près du socle des offrandes, dans la chapelle. Ému par la détresse de son fils, il avait lui-même espionné sa femme pendant plusieurs jours, quitte à perdre son poste. Ce qu’il avait appris lui avait glacé le sang. Sa femme se faisait harceler par Grégorio. Ce dernier était toujours dans ses quartiers ; il avait lancé tous ceux qu’il avait dans sa poche  contre Daphné.

Mentalement, c’était dur de voir que ses amis d’hier étaient ses ennemis d’aujourd’hui. Oh, ce n’était pas vraiment des ennemis, seulement des hommes et des femmes apeurés par le pouvoir et l’influence d’un monstre. Elle avait compulsé des dossiers qui pourraient faire chuter Grégorio et ses affaires louches. Il le savait, et c’était pour ça qu’il la traquait sans répit. Mais cette partie de l’histoire, Glawen n’en savait rien.

De son côté, Glawen avait trouvé une solution : l’exil. Il savait que Daphné s’y opposerait, or, elle n’aurait pas le choix. Il était hors de question qu’elle continue à souffrir en silence et que son fils, ainsi que lui-même, la regardent avec impuissance. Elle était au bord du gouffre, il ne le savait que trop bien. Elle avait eu quelques années de répit, mais le calvaire recommençait.

An 313. Le jeune garçon regardait par la fenêtre enneigée avec un air rêveur. Sa maman était partie il y a longtemps, et son père… C’était comme si il était parti, lui aussi. Quand du jour au lendemain, son lit s’était avéré être vide, il avait connu la plus grande peur de sa courte vie. Son père l’avait rassuré en lui disant que « maman reviendra quand elle ira mieux » et l’avait confié à une des meilleures nourrices : celles qui côtoyaient la crème, le château.

Plus le temps passait et moins il voyait son père. Au début, c’était parce qu'il travaillait trop et maintenant, c’était parce qu’il ne travaillait quasiment plus. Il s’était senti seul jusqu'à ce qu’il découvre un autre petit garçon qui lui ressemblait ; celui qu’on appelait « prince ». Quand personne n’était là, les deux amis se retrouvaient à leurs fenêtres de chambre respective et se parlaient jusqu'à ce que l’un d’eux doive partir.

An 317. Grâce au jeune prince, Lukas s’était découvert une passion : les armes. À la demande de son ami, il avait fait un tour dans les échoppes d’armement et s’était déniché celle qui lui « parlait » le plus. Il avait appris de par sa nourrice que son père avait été un brillant combattant. Décidé à le faire sortir de sa coquille, l’adolescent pré-pubère avait provoqué son père du bout de sa lance jusqu’à ce qu’il se lève, prenne sa hache et lui donne un coup qui lui coupe l’herbe sous le pied.

Dès lors, le père et le fils passaient leur temps à s’entraîner. Pour l’aîné, c’était un moyen de se défouler et d’oublier la douleur causée par l’absence de sa femme et la crainte qu’elle soit en danger là où elle était ; pour le plus jeune, cela lui permettait de retrouver morceau par morceau le père aimant qu’il avait tant admiré.

Même si l’entraînement occupait majoritairement ses pensées, le jeune adolescent pensait toujours à sa mère. Il avait le souvenir d’une voix chantante et d’un regard bienveillant sur lui. Quand il en parlait à son paternel, il n’obtenait pour réponses que des « Je t’expliquerais quand tu seras plus grand », qui étaient loin de le satisfaire.

An 318. À 13 ans, il finissait par faire une brève fugue. Un ami de son père, marchand de bateaux, l’avait ramené au bercail en expliquant à l’étonné que « ton fils a voulu rejoindre sa mère, je me suis dit que ça valait mieux que je te le ramène ». Glawen avait compris que le temps était venu de lui expliquer pourquoi sa mère avait pris le large, puisqu’il ne savait pas que c’était lui-même qui l’y avait encouragée.

Il lui avait donc raconté, à l’aide de mots imprécis pour ne pas le choquer et après de nombreuses pauses, l’humiliation permanente vécue par sa mère. La voix enrouée, il se perdait dans ses souvenirs, se remémorant avec difficultés les souffrances endurées par sa bien-aimée. Attentif et touché par son histoire, Lukas s’était juré de rendre à Grégorio la monnaie de sa pièce et de retrouver sa mère.

329. Le temps avait passé. L’adolescent avait cédé la place à un jeune homme. Toujours déterminé à faire payer Grégorio, il s'était durement entraîné puis s’était engagé chez les Chevaliers de la Lumière et évoluait dans les grades. Son but n’était pas de toucher à lui – il n’aimait pas la violence -, mais de démanteler son réseau en le piégeant. Étant désormais capitaine, il avait accès à plus de données, et il comptait bien continuer à gravir les échelons pour atteindre son but.





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MessageSujet: Re: Lukas D. Kosta Lukas D. Kosta EmptyLun 2 Nov - 21:22


Re-bienvenue à toi jeune capitaine méga trop classe qui déchire ! Lukas D. Kosta 2958298358
(Bon je ne suis pas très objective, mais que veux-tu c'est ça l'amour... Lukas D. Kosta 4165359451 *je sors oui oui j'ai compris*)

Bref, tu es validé ! Amuse-toi bien avec ton p'tit gars tout gentil !! *et batifole pas avec n'importe qui !* roh Swalia tais-toi un peu !




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